au Centre Culturel Jean-Jacques Rousseau à Seyssinet-Pariset
Le Centre culturel existe depuis vingt cinq ans et le travail d’éducation artistique s’inscrit très largement dans l’activité de la structure.
A travers les projets axés autour du théâtre, les élèves de l’école primaire jusqu’au lycée bénéficient à la fois d’une formation d’acteur et de spectateur.
Des parcours sont mis en place pour permettre aux jeunes de se rendre sur le lieu culturel de proximité ou dans d’autres lieux pour découvrir la création artistique dans toute sa diversité. les élèves du collège assistent aux représentations du soir avec leurs familles. Durant la saison 07/08, ils nous font part chacun à leur manière de leur expérience de jeunes spectateurs !
Les Pieds dans les nuages par le Théâtre de Romette,
Mardi 22 janvier 2008
« C’est l’histoire de petits garçons qui dorment et qui ronflent dans un piano. Un d’entre eux se réveille : il a envie de voler ! Il essaie de sauter, de bondir d’une valise, de se catapulter, de planer avec des ailes, de monter avec des bulles, de fabriquer des nuages… rien ne marche ! C’est avec un trapèze à moulinet qu’enfin il peut réaliser son rêve et disparaître dans le ciel. »
« Le spectacle était très beau. Le monsieur était dans les nuages et le vent le poussait. La musique était belle. »
« Le piano jouait très bien. Grâce au piano, la marionnette était encore mieux. Les ronflements dans le piano étaient très bien. »
« La marionnette est drôle, j’ai bien aimé ce spectacle. »
Les élèves de CP de l’école Moucherotte de Seyssinet-Pariset et de l’école Bayard à Grenoble
« Le spectacle était très beau. Le monsieur était dans les nuages et le vent le poussait. La musique était belle. »
« Le piano jouait très bien. Grâce au piano, la marionnette était encore mieux. Les ronflements dans le piano étaient très bien. »
« La marionnette est drôle, j’ai bien aimé ce spectacle. »
Les élèves de CP de l’école Moucherotte de Seyssinet-Pariset et de l’école Bayard à Grenoble
Yaël Tautavel ou l’enfance de l’art, de Stéphane Jaubertie, par le Théâtre Nouvelle Génération, vendredi 21 Décembre 2007
A l’Espace 600 dans le cadre du partenariat avec le Centre Culturel pour les spectacles jeune public.
« Aujourd’hui nous allons vous parler de la pièce de théâtre « Yaël Tautavel ».
Cette pièce raconte l’histoire de deux enfants qui habitent sur une île sans animaux à cause de la pollution. Les deux frères rencontrent un peintre qui leur propose d’aller voir les animaux sur la grande Terre. Nous vous laissons découvrir la suite.
La scène la plus retenue par nos journalistes est la rencontre des deux frères avec le peintre, mais celle qui les a le plus touchés est celle de la séparation des deux frères.
En on conclut que cette pièce est adaptée aux personnes qui aiment les émotions fortes et qui luttent contre le réchauffement de la planète.
Au revoir, bon théâtre et à la semaine prochaine ! »
« Les grands thèmes de la pièce sont : humour, amour et art. C’est l’histoire de deux frères inséparables. En entrant chez le peintre, Gaëtan tombe amoureux de la fille du peintre et Yaël a peur alors de perdre son frère. Mais il se découvre une passion pour la peinture qui va l’aider à vivre sans son frère.
Il suffit de découvrir une passion pour que la vie soit différente. Le thème est ici traité avec humour mais l’émotion est très forte. »
« Aujourd’hui nous allons vous parler de la pièce de théâtre « Yaël Tautavel ».
Cette pièce raconte l’histoire de deux enfants qui habitent sur une île sans animaux à cause de la pollution. Les deux frères rencontrent un peintre qui leur propose d’aller voir les animaux sur la grande Terre. Nous vous laissons découvrir la suite.
La scène la plus retenue par nos journalistes est la rencontre des deux frères avec le peintre, mais celle qui les a le plus touchés est celle de la séparation des deux frères.
En on conclut que cette pièce est adaptée aux personnes qui aiment les émotions fortes et qui luttent contre le réchauffement de la planète.
Au revoir, bon théâtre et à la semaine prochaine ! »
« Les grands thèmes de la pièce sont : humour, amour et art. C’est l’histoire de deux frères inséparables. En entrant chez le peintre, Gaëtan tombe amoureux de la fille du peintre et Yaël a peur alors de perdre son frère. Mais il se découvre une passion pour la peinture qui va l’aider à vivre sans son frère.
Il suffit de découvrir une passion pour que la vie soit différente. Le thème est ici traité avec humour mais l’émotion est très forte. »
Circus Klezmer Mardi 27 Novembre 2007
« C’est un spectacle de cirque très gai même si on ne comprenait pas très bien la langue qu’ils parlaient… »
« La musique était entraînante, les acteurs étaient rigolos. C’était la première fois que j’allais au théâtre, cela m’a bien plu. »
« C’est un spectacle de la vie de tous les jours. J’ai beaucoup apprécié. J’aimais bien quand les acteurs choisissaient des gens dans le public pour les faire monter sur scène. »
« Ce qui m’a le plus touché c’est quand la femme du mari fait un stripe-tiz à une personne du public et à ce moment-là ça m’a fait rire. »
Les élèves de la classe de 6ème à horaire aménagé théâtre du collège Pierre Dubois
Le Fredon d’Olivier Gadet par La Compagnie de la Saillie Mardi 20 Novembre 2007
« Une pièce vivante !, « Le Fredon, théâtre en folie. », « Le commencement de la fin… », « Rire grinçant »
« Rideaux levés… Se fait voir un décor des plus sobres, qui nous plongerait presque dans un monde où règne le chaos, où seules les ruines et ces deux personnages subsisteraient. Un père et son fils. Ces derniers, qui à notre grande surprise se montrent des plus étonnants, n’affichent certainement pas la plus grande complicité, mais une unique compréhension mutuelle.
Si le fils aux airs de rêveur se résigne, avec talent, à ne pas émettre un seul son de sa bouche, cela n’est évidemment pas le cas de son père, braqué par la lumière, qui n’a d’yeux que pour lui-même, qui débite sans cesse un flot de paroles impressionnant.
Serait-ce le début de l’ennui pour le spectateur ?
Non, c’est tout le contraire pour cette pièce mise en scène par Pascal Mengelle.
Cet univers psychédélique où nous entraînent parfaitement Patrick Zimmermann et Thomas Bédécarrats, (photo ci-dessus) nous plonge dans le passé de ce père plus ou moins autoritaire et exigeant qui n’avait connu jusque là que le fait de vivre de récupérations grotesques de déchets divers.
Bien que ce personnage nous passe en revue ses histoires rocambolesques, il nous amène aux questions fondamentales de l’évolution de notre monde, de la maîtrise de nos valeurs qui influent sur notre avenir.
C’est là que nous éblouit le travail de Pascal Mengelle et la prestation des acteurs qui, avec humour et passion, jouent sur scène ce qui représenterait de lourdes heures de lecture !
Ils font du « Fredon » un moment délectable et surprenant. »
Une critique de la seconde 3 du lycée Aristide Bergès.
« Rideaux levés… Se fait voir un décor des plus sobres, qui nous plongerait presque dans un monde où règne le chaos, où seules les ruines et ces deux personnages subsisteraient. Un père et son fils. Ces derniers, qui à notre grande surprise se montrent des plus étonnants, n’affichent certainement pas la plus grande complicité, mais une unique compréhension mutuelle.
Si le fils aux airs de rêveur se résigne, avec talent, à ne pas émettre un seul son de sa bouche, cela n’est évidemment pas le cas de son père, braqué par la lumière, qui n’a d’yeux que pour lui-même, qui débite sans cesse un flot de paroles impressionnant.
Serait-ce le début de l’ennui pour le spectateur ?
Non, c’est tout le contraire pour cette pièce mise en scène par Pascal Mengelle.
Cet univers psychédélique où nous entraînent parfaitement Patrick Zimmermann et Thomas Bédécarrats, (photo ci-dessus) nous plonge dans le passé de ce père plus ou moins autoritaire et exigeant qui n’avait connu jusque là que le fait de vivre de récupérations grotesques de déchets divers.
Bien que ce personnage nous passe en revue ses histoires rocambolesques, il nous amène aux questions fondamentales de l’évolution de notre monde, de la maîtrise de nos valeurs qui influent sur notre avenir.
C’est là que nous éblouit le travail de Pascal Mengelle et la prestation des acteurs qui, avec humour et passion, jouent sur scène ce qui représenterait de lourdes heures de lecture !
Ils font du « Fredon » un moment délectable et surprenant. »
Une critique de la seconde 3 du lycée Aristide Bergès.